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C’est peut-être le moment de se poser et de parler de la dangerosité du parapente
A la question : « est-il dangereux de faire du parapente ? », la réponse doit être nuancée.
Le danger majeur, c’est le sol, car un contact brutal avec lui est forcément synonyme de blessures ou pire.
Il y a chaque année en France environ 1000 accidents déclarés, et 15 décès liés à la pratique pour 34000 licenciés
Ce sont des chiffres qui font peur et on doit considérer la pratique comme accidentogène. Inutile de se voiler la face, si on se met dans une situation critique, l’accident n’est pas loinOn peut impacter le sol violemment au décollage ou à l’atterrissage si ceux-ci sont ratés, avec des conséquences bien différentes s’il s’agit d’eau, de sable, d’herbe grasse ou de rochers pointus ou de barbelés, sans parler de la ferme aux crocos …
Il peut arriver aussi un incident de vol suite à une erreur de pilotage ou une aérologie mal jugée avant de décoller, incident qui amène au sol.
Une collision avec un autre parapentiste, un planeur ou un avion, des turbulences de pales d’hélico, cela peut aussi amener au sol.Il faut donc se méfier de tout, et avant tout de soi-même, car l’erreur de jugement, le choix de décoller alors qu’il ne le faudrait pas, cela n’est pas anodin et peut être lourd de conséquences. Toujours se rappeler que « 100 % des pilotes qui n’ont pas décollé n’ont pas eu d’accident ».
Aujourd’hui, je totalise en 18 mois de pratique 143 vols, donc 143 décollages et 143 atterrissages (dont quelques uns peu académiques, mais toujours sans gravité), 24h de vol au total et je pense que j’ai décidé de redescendre sans voler une trentaine de fois. Aucun vol ne s’est terminé par le sentiment que je n’aurais pas du y aller. A chaque fois, je debriefe ou j’autodebriefe mon vol pour savoir ce que j’aurais pu mieux faire, éviter de faire, choisir de faire, car bien sûr, la sécurité est le maitre mot.
Je suis inscrit en club pour ne jamais voler seul, ou le plus rarement possible, et mes formateurs qui sont très présents sur mes sites de vol observent et donnent des conseils très souvent, car ils observent constamment et épient les comportements à risques. C’est un peu comme une moto-école qui serait encore au cul de ses élèves une fois le permis en poche.
Activité dangereuse, oui, mais avec possibilité de ne pas se mettre en situation que le risque advienne et ouvre sur une situation de danger. C’est comme sur la route, en somme, le danger se cache partout, et on adapte le niveau de risque auquel on s’expose.
Le Schuberth S3 est avancé par la marque, ainsi que dans les tests, comme le casque le plus silencieux à 100 km/h sur une moto sans bulle. Or, moi, ce que je veux, c’est un casque silencieux derrière ma bulle, et je me suis dit que ça devrait le faire. C’est vrai, la protection, c’est une chose pour rouler vite et longtemps, mais le bruit généré par le AraÏ à 130 km/h est infernal sur ma T120. Et ce bruit est usant à la longue.
Je le connais bien, mon Araï, et je l’adore.
La boucle Double D, je ne la trouve pas contraignante, à part qu’elle oblige d’être mise ou enlevée sans les gants. Une fois en place, elle est facilement réglable et de par sa finesse, n’accroche pas le col du blouson lorsqu’on tourne la tête. En terme de sécurité, c’est le seul système admis en course, donc a priori, c’est le plus sécuritaireLe Schuberth a opté pour une boucle automatique crantée, facilement réglable aussi, et qui se met et se défait avec les gants, c’est un plus. Nullement gênante car plutôt fine et protégée par une gaine, je la trouve parfaite.
On va dire que donc, si on fait de petits parcours répétés avec obligation de mettre et d’enlever le casque aux arrêts, le Schuberth est plus adapté, mais bon, sur un long parcours, les boucles ne font pas l’intérêt d’un casque par rapport à l’autre.
Le parapente est une activité nature, et donc, si la semaine dernière, j’ai bien volé, un à deux vols par jour, là, je vais pouvoir bricoler peinard la 11 à l’abri du vent pendant quelques jours. Faut s’adapter !
Alors en quoi sont-ils différents ces deux casques ?
Par leurs marques déjà, qui bien que toutes deux centenaires, ou presque, ont deux façons différentes de voir le boulot
Les ingénieurs d’Araï sont des intégristes et conçoivent des casques toujours de la même façon. On pérennise ce qui va bien dans l’ancien et on améliore ses défauts pour toujours proposer un produit meilleur que le précédent. C’est une démarche qualitative basée sur la continuité et l’expérience. c’est ainsi qu’on ne déroge pas à plusieurs règles chez eux : la forme des casques est identique depuis des lustres car elle permet de glisser sur les obstacles, la boucle de fermeture est en double D parce que c’est la plus sécuritaire, et aucune espèce de chose n’est incluse dans la calotte du casque, afin d’en respecter l’intégrité.
Les ingénieurs de Schuberth font de la recherche et disposent d’une soufflerie, innovent sans cesse, soucieux du moindre détail de confort. Il y a même eu des recherches sur des casques différents pour pilote et passager, celui du passager étant pris dans les remous d’air de celui du pilote.
A peine ouvert, Lolo a déjà pourri le sujet.
Sacré Lolo !
Tiens, bizarre. On pourrait supprimer ce sujet en double
Ces deux casques ressemblent à des casques intégraux, sont homologués et proposent écran doté d’un pinlock anti buée et écran solaire. Et c’est à peu près tout ce qu’ils ont en commun.
De l’eau ? Quelle horreur ! Et salée si ça se trouve
Tu viens d’inventer le bio paramoteur
<p st
La vache ! c’est déjà pas mal Raulhac !! Vivement que tu puisses venir nous vois en voile !
Tu ferais forte impression auprès de ton neuveu !
Et après tu me ramènes ou je prends pension jusqu’à ce que les vents dominants poussent vers Clermont-Ferrand ?
Pour aider dans nos estimations de sens et de vitesse du vent, heureusement nous avons des balises météo au sommet du PDD.
Quelquefois, il faut les interpréter avec circonspection
Ces deux là sont distantes de 100m, une au sud et une autre nord, et réputées fiables
Donc, cela confirme qu’on peut vendre un véhicule sans CT, légalement et avec déclaration de cession datée.
Il faut juste cocher la case indiquant que le véhicule n’a pas subi de transformation. Le reste est l’affaire de l’acheteur s’il souhaite faire établir un certificat d’immatriculation.
Pour avoir vendu récemment ma GSXR, je confirme : non, pas de case à cocher attestant de la présence d’un CT, seulement une case pour confirmer la remise d’un certificat de situation administrative (non gage) à l’acheteur.
En passant par le site ANTS ?
Ce que j’aurais aimé que PAOORL me dise, c’est s’il a du cocher une case concernant le CT lorsqu’il a rempli le formulaire ANTS en ligne. Ce n’est pas le cas du formulaire papier
Autrement dit, peut-on vendre sans CT et sans mentir ?
Une case du genre : « j’atteste sur l’honneur avoir fourni un CT à l’acheteur »
Sinon, ce que fait l’acheteur ensuite, lorsque la moto lui appartient et qu’elle n’est plus officiellement sous ma responsabilité, je m’en tape le coquillard à liquifier un œuf à la coque.
PAOORL, si tu nous lis …
Perso, ça m’intéresse de savoir si la procédure ANTS a demandé un CT, ou pas .
Un CT de moins de 6 mois étant obligatoire pour refaire la CG, ça parait inévitable …
Pour faire faire la carte grise oui pour vendre ?
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