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Tout le temps en réserve ? Tu aimes le risque, sauf si ton robinet dysfonctionne
Pour le mano, est-ce que ce n’est pas un fonctionnement normal de passer en réserve lorsque la jauge indique zéro ?
Zéro du mano pour 12 l et ensuite on passe en réserve de 3 l, c’est pas déconnant. L’essentiel, c’est de connaître et bien interpréter les indications du mano.Sur ma 11, j’avais modifié la position de l’aiguille après m’être assuré que le problème ne venait pas de la jauge du réservoir. Aujourd’hui, je passe en réserve au robinet quand le mano entre en zone rouge.
Sinon, la solution mécanique de Brico fonctionne, mais il est peu probable que la tige de la jauge se soit tordue seule enfermée dans le réservoir.
Il est possible si cela passe qu’elle soit montée à l’envers, c’est une autre piste à étudier, ou qu’un précédent proprio l’ait déformée.Ce serait bien d’avoir l’expérience de ceux qui ont une 550, savoir comment fonctionne leur jauge
Dans ton cas, le mano fonctionne sur toute son amplitude.
Tu indiques que tu rajoute 9 litres quand tu passes en réserve, mais de quelle réserve s’agit-il ? Est-ce que c’est l’aiguille qui arrive à l’entrée du rouge ou est-ce que tu bascules le robinet en réserve ?Parce que ça me permet de savoir que le fonctionnement est différent du mano des 11, qui ne redescend pas à zéro contact coupé.
Est-ce que c’est comme sur la 11 un manomètre dont l’aiguille reste en place quand on coupe le contact ? Ou bien ce que l’aiguille revient sur le zéro ?
Il fautsortir la jauge et tester le message qu’elle envoie au manomètre pour en tirer des conclusions
L’essentiel pour une jauge, c’est qu’elle soit très précise lorsque l’essence vient à manquer. Si elle reste au max pendant 150 km, et qu’ensuite elle est précise, elle remplit son rôle.
Il faut arriver à savoir si le problème vient du flotteur avec son rhéostat ou bien si c’est un problème d’indicateur au tableau de bord
Ha ha, ha, j’avais perdu mon blog de vue, ça me fait plaisir de le retrouver.
Et des rétros aussi
Je n’ai pas de levier d’embrayage, ni de poignée caoutchouc d’origine côté gauche, ni le contacteur d’embrayage
Quelqu’un aurait-il ça dans un fond de tiroir ?
26 juillet 2025 à 18h00 en réponse à : Emplacement des cloches de filtre à huile sur les 1100, 750, 550. #367401Tu fais bien comme tu veux. De toute manière, si tu changes ton filtre souvent, il y a peu de risques qu’il se bouche et dans ce cas, le bypass n’a aucune raison de fonctionner, et ton moteur aucune raison de casser.
26 juillet 2025 à 17h54 en réponse à : Emplacement des cloches de filtre à huile sur les 1100, 750, 550. #367400As tu lu mon blog ?
26 juillet 2025 à 15h12 en réponse à : Emplacement des cloches de filtre à huile sur les 1100, 750, 550. #367397J’avais fait ça sur un de mes blogs
https://kawasaki1100zephyr.blogspot.com/p/la-vidange-du-moteur.html
26 juillet 2025 à 15h07 en réponse à : Emplacement des cloches de filtre à huile sur les 1100, 750, 550. #367396Oui, oui, j’ai déjà vu et étudié tout ça de près, c’est d’ailleurs pour cela que j’avais lancé le sujet.
Autre pierre à l’édifice de ma théorie qu’il faut mettre la cloche en haut :
Si on la met en bas, la rondelle d’appui du ressort sur le filtre ne sert à rienEn mettant la cloche en bas, le ressort prend directement appui sur la cloche, alors qu’il devrait prendre appui sur la fameuse rondelle au contact du filtre.
Fais l’essai des deux montages et comprime l’ensemble. Tu verras que cloche en haut, l’huile peut passer par les spires du ressort, et que cloche en bas, y a quelque chose qui cloche : le ressort est quasi compressé à fond, et le joint d’étanchéité du filtre n’est pas pressé contre le filtre.
Il faut tenir compte du fait que l’ensemble est comprimé dans son logement (la taille de l’ensemble est égale à la hauteur du logement du filtre dans le carter), et cela ne ressemble plus du tout à un éclaté à l’air libre.
Et encore une période pas cool pour voler, je prends mon mal en patience, les conditions pour mon niveau vont revenir
Un petit mot sur le parachute de secours ?
Il tient dans un petit sac d’environ 15x15x4 cm (c’est tout petit), pèse un peu plus d’un kilo, est situé sous mes fesses, et renferme dans mon cas une toile de 35 m², capable d’amener au sol en douceur un poids de 120 kg.
Non obligatoire en usage loisir, mais vivement recommandé, à quoi sert-il ? Comment l’utiliser ?
Il évite d’impacter le sol tragiquement en cas d’incident de vol irrémédiable et non solutionnable.
Vitesse de chute libre : entre 55 et 65 m/s (plus de 200 km/h)
Taux de chute théorique sous parachute de secours 5m/s (18km/h)
Dans la réalité, le seul cas de chute libre possible serait de tomber dans sa voile, l’empêchant strictement de voler, et ce serait d’autant plus dramatique que l’éjection du secours serait quasi impossible car le pilote serait empaqueté dans la voile. Dans la réalité donc, un parapente qui vole de manière dégradée a un taux de chute bien inférieur, mais suffisant pour impacter le sol beaucoup trop fort.L’éjection du secours a pour but de transformer l’aéronef qui vole mal ou plus du tout en lest dont la chute est suffisamment ralentie pour que l’impact avec le sol le plus doux possible. Une blessure est toujours possible, surtout que le point d’impact ne peut pas être choisi. Le parachute de secours constitue juste un frein aérodynamique, et n’est pas pilotable. Rocher, toit de maison, arbre, plan d’eau, ligne électrique, crocos, tout est possible au sol, aussi ne faut-il utiliser le parachute de secours qu’à bon escient, ce qui est loin d’être toujours possible.
Prenons le cas d’une fermeture d’une demi-aile, entrainant une autorotation qui s’amplifie jusqu’à l’évanouissement du pilote centrifugé dans sa sellette. Si celui-ci n’a pas sorti le secours en pensant qu’il est au dessus d’un milieu possiblement hostile et que ça va revoler, en pensant qu’il allait rattraper le coup, c’est la fin de ses aventures.
Il y a chaque année pas mal d’accident suite à des choix de tenter de faire revoler la voile plutôt que de sortir le secours. Aussi, la règle à mon niveau, c’est : plus d’un tour non désiré ou collision en vol = secours.
Les statistiques montrent que si on tire le secours, on reste en vie. Il arrive même souvent que la chose se solde seulement par une bonne montée d’adrénaline, rien de plus.
Evidemment, dans une vie de parapentiste, on n’a pas forcément besoin de tirer le secours, seuls 2 à 3 % y ont eu recours en vol loisir, et plus souvent lors de stage de pilotage où on cherche un peu la merde.
Pour ma part, il est là par sécurité, mais j’ai bien l’intention de ne jamais me fourrer dans des situations qui obligeraient à le sortir. Il a exactement le même rôle qu’un airbag moto, on le trimballe sans jamais l’utiliser.
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